Selon le rapport mené par Unit42 pour Palo Alto Network, le montant moyen des rançons payés ne cesse d’exposer depuis un an. En vain, les cyberattaques s’organisent pour accroitre la performance de leurs attaques.
Le nombre de ransomware n’est pas le seul à augmenter, celui des rançons associées explose aussi. La récente étude réalisée par Unit42 « Ransomware Threat Report 2021 » indique que le montant payé par les victimes de ransomware est passé de 115 124$ en 2019 à 312 493$ en 2020. Le montant moyen exigé des rançons est quant à lui plus élevé et s’estime à 947 344$ en 2020. Malheureusement la comparaison avec l’année 2019 n’est pas réalisable dû à l’absence du montant pour l’année 2019.
Netwalker, Ragnarlocker, Nefilim, Darkside, Revil, Avaddon, Clop, Defray777 et Pay2key qui sont les ransomware as a service les plus répandues, facilitent leur expansion grâce à un mode de conception et rétribution communautaire bien rodé.
Le montant moyen des rançons augmentant drastiquement mais les sommes les importantes demandées augmentent aussi de façons exponentielles.
Les cybercriminels voient les choses en grand, pour comparaison en 2019, la somme demandée la plus élevée était de 15 millions de dollars, celle-ci à doublée en 2020, pour atteindre 30 millions de dollars. Rappelons que rançon demandée ne rime pas avec payée.
Le curseur concernant les sommes les plus élevées versées est aujourd’hui à la hausse, passant de 5 millions $ en 2019 à 10 millions de $ en 2020.
L’Institut Montagne indique que la ransomware est la menace la plus fréquente de 2020, ayant les plus forts impacts sur la production, la réputation et les finances de ceux impactés.
La hausse des signalements (+255% en 2020 versus 2019 d’après l’ANSSI) et l’incitation à ne pas payer, cela n’empêche malheureusement pas la capacité des cybercriminels à faire payer les rançons.
Sur le terrain français, 3 entreprises ont été sévèrement impacté par les ransomwares. Altran et Sopra Steria ont respectivement perdu 20 millions d’euros et 50 millions d’euros, Saint-Gobain a quant à elle perdu 250 millions d’euros à la suite de ransomwares.
Ces pertes astronomiques perdues sont vraisemblablement liées à la perte d’exploitation et de chiffre d’affaire qu’à celui de la remédiation cyber en elle-même.
La ceboxOs offre la possibilité d’utiliser son poste de travail en mode Read-Only, ce qui permet de retrouver son poste libre de tout virus à chaque redémarrage de celui-ci, ainsi la performance du poste n’est pas altéré.
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